Les unités sémiotiques minimales dans les textes aristotéliciens
DOI :
https://doi.org/10.11606/issn.1980-4016.esse.2013.61243Mots-clés :
symbole, signe, catégorématique, syncatégorématiqueRésumé
La recherche sur la philosophie du langage englobe une idée dans les Catégories très importante pour les disciplines du langage, la théorie du symbole : les mots sont les symboles avec lesquels l’homme codifie le monde physique. Elle est le début de la grande discussion sur la signification des mots et la distinction entre le signifié et le signifiant. La prolongation de cette question comprend les références sur le symbole en tant que signe dans De l’interprétation et sur l’énonciation de l’hypothèse du ‘troisième homme’ dans les Réfutations Sophistiques. Le symbole, terme fondamental pour toute théorie du langage, pourrait être examiné dans la catégorie de l’extension du sens. Aristote utilise le terme symbole en tant que représentation : les mots sont les symboles des choses, les sons émis par la voix sont les symboles des états de l’âme. La question du symbole en tant que signe inaugure la problématique de l’unité sémiotique minimale. La conception aristotélicienne sur le nom ( ́Ονομα), le verbe (Ρήμα) et la parole (Λόγος) est la base sur laquelle est fondée la distinction du Moyen Âge entre les signes catégorématiques et syncatégorématiques, qui occupe la recherche sémiotique moderne. Les unités sémiotiques minimales (le symbole inclus) seront examinées dans cet article.
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